Ire contre « De ira » : la réponse de l'auteur

: Merci à tous ceux qui ont pris la peine de réagir à mon article « De ira » (L'Histoire n° 412). Je ne suis pas un de ces latinistes pour qui, hors le latin, il n'est point de salut. Mon propos se voulait plus alarmiste : par idéologie ou par indifférence, on détruit les fondements gréco-romains de notre monde. Il n'y a pas, à mes yeux, de différence de nature entre cette destruction, qui s'avance masquée, et l'attitude des barbares devant les civilisations antiques.

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