Shakespeare in love
Quelques réactions à notre dossier Shakespeare de février 2013 (n° 384).
Jean-Louis Barbé se demande « pourquoi, dans la galerie des faux Shakespeare (p. 51), il n'est pas question de John Florio. Cet humaniste, traducteur des Essais de Montaigne en anglais, fréquentait les cercles aristocratiques. Il a beaucoup voyagé. Il connaissait plusieurs langues. Il existe des analogies stylistiques entre lui et Shakespeare. Reste à savoir pourquoi il aurait conservé l'anonymat ».