Vercingétorix, l'homme qui voulait être roi
Vercingétorix : un de nos « grands hommes » ? Le premier à avoir eu le souc i d'unifier le territoire national ? La réalité est sans doute moins belle que cette légende encore largement répandue.
Vercingétorix : un de nos « grands hommes » ? Le premier à avoir eu le souc i d'unifier le territoire national ? La réalité est sans doute moins belle que cette légende encore largement répandue.
Vercingétorix : un de nos « grands hommes » ?
Le premier à avoir eu le souci d’unifier le territoire national ? La réalité est sans doute moins belle que cette légende encore largement répandue.
On connaît la première bataille d'Alésia, qui vit en 52 av. J.-C. la défaite de Vercin-gétorix devant les troupes de César. On sait moins qu'il y en eut une seconde, commencée au XIXe siècle, lorsque la Bourgogne et la Franche-Comté se disputèrent la propriété du site.
On connaît les Gaulois des livres d'histoire : nos ancêtres belliqueux, mais aussi « patriotes » avant la lettre, pacifiés et enfin «civilisés» par la conquête romaine... Ces idées reçues, héritées du x/xe siècle, n'ont plus cours aujourd'hui. Car les archéologues ont mis au jour, sur des sites d'une extraordinaire richesse, les vestiges d'une civilisation inventive, opulente et largement ouverte aux influences extérieures.
On connaît les Gaulois des livres d’histoire : nos ancêtres belliqueux, mais aussi « patriotes » avant la lettre, pacifiés et enfin « civilisés » par la conquête romaine… Ces idées reçues, héritées du XIXe siècle, n’ont plus cours aujourd’hui. Car les archéologues ont mis au jour, sur des sites d’une extraordinaire richesse, les vestiges d’une civilisation inventive, opulente et largement ouverte aux influences extérieures.
Comment Vercingétorix s'est-il rendu à César après la défaite d'Alésia ? Des quatre témoignages connus - ceux de César, de Florus, de Plutarque et de Dion Cassius -, c'est celui de Florus qui semble le plus authentique : le chef gaulois aurait bien été livré par les siens, mais «dans l'honneur».
Comment Vercingétorix s’est-il rendu à César après la défaite d’Alésia ? Des quatre témoignages connus — ceux de César, de Florus, de Plutarque et de Dion Cassius —, c’est celui de Florus qui semble le plus authentique : le chef gaulois aurait bien été livré par les siens, mais « dans l’honneur ».
En poursuivant votre navigation sur les sites du groupe Sophia Publications, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des services et contenus personnalisés.