Deux biologistes de Sorbonne Université et du CNRS sont parvenus à stocker 100 milliards de copies de deux textes sur de l'ADN.

L'historien britannique Arthur Asseraf raconte la circulation de l'information dans l'Algérie coloniale.

Ce fut un projet fou : poser un câble télégraphique au fond de l'océan Atlantique, entre l'Europe et les États-Unis. En 1866, le rêve est accompli : de plusieurs jours, le délai d'acheminement d'une information est passé à quelques minutes !

A la Renaissance, les cours princières et les marchés d'Occident et d'Orient communiquent de plus en plus rapidement. Venise, avec ses réseaux diplomatiques et commerciaux, est au coeur de cette révolution de l'information.

Libertaire, Internet ? En réalité, il a vu naître en vingt ans un oligopole formé des grands groupes de communication alliés aux jeunes entreprises du Web. Le numérique est une industrie lourde. Entièrement américaine.

Ils étaient à première vue de simples exécutants au service du pouvoir. Les crieurs publics du Moyen Age montrent qu'en réalité tout « métier de parole », dans une société illettrée, confère une influence considérable.

Le « bug » de l'an 2000 n'a pas eu lieu... Le XXIe siècle sera celui d'Internet.

En période de guerre, le contrôle de l'information est un enjeu brûlant. On le voit avec l'Irak. Le phénomène n'est pas nouveau. Pendant la Grande Guerre, en France, l'État a organisé officiellement la dissimulation des réalités les plus crues du conflit. Un conflit auquel est consacré le numéro 21 des Collections de L'Histoire*.

Informations truquées, goût du sensationnel, compromissions avec la classe politique : le métier de journaliste apparaît de plus en plus menacé par les « dérapages » en tout genre. Et souffre d'une grave crise de confiance de la part du public. Ces critiques sont-elles justifiées ? Qui sont donc ces journalistes dont l'intégrité est si souvent remise en question et qui cherchent aujourd'hui à moraliser leur propre profession ?