Juin-juillet 1914. Dernier bal de juillet
Au début de l'été, peu nombreux encore sont les Français qui prennent la mesure du danger. Jusqu'à l'assassinat de Jean Jaurès.
Au début de l'été, peu nombreux encore sont les Français qui prennent la mesure du danger. Jusqu'à l'assassinat de Jean Jaurès.
En ce vendredi 31 juillet 1914, on vit, on aime, on trime comme un beau jour d'été. Quelques signes, à peine, d'un danger auquel on ne veut pas croire. Brutalement, l'assassinat de Jaurès, qui a tenté de sauver la paix jusqu'à la dernière minute, en appelle à la défense de la patrie : « Jaurès est mort ! Vive la France ! »
On vit, on aime, on trime comme un beau jour d'été en ce vendredi 31 juillet 1914. Quelques signes, à peine, d'un danger auquel on ne veut pas croire. Brutalement, l'assassinat de Jaurès, qui a tenté de sauver la paix jusqu'à la dernière minute, en appelle à la défense de la patrie : « Jaurès est mort ! Vive la France ! »
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