L'or vert du Cantal
Après les crises du XIVe siècle, une économie pastorale originale et innovante assure, à la fin du Moyen Age, la prospérité du Cantal. Un mémoire couronné par le prix Marcel-Lachiver le démontre.
Après les crises du XIVe siècle, une économie pastorale originale et innovante assure, à la fin du Moyen Age, la prospérité du Cantal. Un mémoire couronné par le prix Marcel-Lachiver le démontre.
En 2019 l'Unesco inscrit l'alpinisme, une pratique née en Europe au siècle des Lumières, sur la liste du patrimoine immatériel de l'humanité.
Savant et peintre à la curiosité insatiable, le Florentin fut aussi l'un des premiers à s'intéresser à la haute montagne.
Le site montagneux de Jérusalem a toujours frappé les visiteurs de la Ville sainte. Leurs témoignages nous aident à mieux saisir son caractère exceptionnel.
Aux XVIIIe et XIXe siècles, les «montagnes» d'Auvergne sont riches des troupeaux de bétail qui viennent y paître en été et produisent beurre et fourme, fabriqués selon une tradition séculaire. La vie quotidienne des pâtres n'est pas idyllique pour autant: les orages, le brouillard, les maladies, voire les loups, menacent toujours d'emporter les bêtes et de ruiner leur propriétaire. Aujourd'hui, ce qui fut une véritable «civilisation de la vache» a presque disparu des massifs de l'Aubrac ou du Cantal.
La notion d'altitude nous paraît aujourd'hui clairement établie. Elle ne s'est pourtant imposée qu'au terme d'une longue histoire où la philosophie, la science et la littérature ont eu leur mot à dire. Au XVIIIe siècle, on croyait encore que les collines dijonnaises dépassaient les Alpes et que le pic de Ténériffe était le plus haut du monde...
En poursuivant votre navigation sur les sites du groupe Sophia Publications, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des services et contenus personnalisés.