Une affaire de médecins
Certificat de décès, permis d'inhumer... Réservé aux prêtres depuis le Moyen Age, le soin des morts devient, au cours du XIXe siècle, une préoccupation majeure des médecins. Non sans résistance de la part de la population.
Les reliques de Marie-Antoinette
A la mort de Louis XVI puis de Marie-Antoinette, les révolutionnaires ont tout fait pour empêcher le culte de ces figures royales. Pourtant, dès 1793, nombre de reliques ou fausses reliques circulent et entretiennent le souvenir de la reine.
La grande vogue de l'embaumement
Pratiqué depuis des siècles, mais réservé jusque-là à l'élite, l'embaumement connaît, entre les années 1830 et 1860, une vogue et une diffusion sociale sans précédent. Une tendance qui révèle une évolution des sensibilités en ce qui concerne la mort.
Une mort sans douleur ?
Inventée au XVIIIe siècle pour procurer une mort rapide et sans douleur, la guillotine tient-elle ses promesses ? Entre passion scientifique et intérêt macabre, elle est l'occasion de débats sans fin sur la frontière brouillée entre la vie et la mort.
Enterré vivant ! Enquête sur une phobie du XIXe siècle
Qu'est-ce qu'être vivant ou mort ? Les débats portent aujourd'hui sur la définition de la mort cérébrale. Anne Carol nous rappelle qu'au XIXe siècle la grande peur était d'être enterré vivant. On recherchait alors fébrilement les signes incontestables d'un décès irrémédiable*.