« Les Amérindiens pensent que les non-humains ont une âme »
Dans les années 1970, l'anthropologue Philippe Descola a vécu trois ans dans la forêt amazonienne avec les Achuar. Il y a découvert un monde où les plantes et les animaux sont des partenaires sociaux.
L'ethnologue, l'Amazonie et les bêtes sauvages
La vision anthropocentrique du monde, la séparation entre nature et culture, l’idée d’une domination de l’homme sur les animaux sont des traits propres à notre monde occidental. Une exception sur la planète, nous explique l’anthropologue Philippe Descola.