Des mandarins pas si confucéens
Achat de titres, distinction sociale et corruption. Loin des fantasmes qui entourent les mandarins, la vertu confucéenne et la méritocratie de l'Empire chinois, plongée dans un milieu de lettrés-fonctionnaires plus hétérogène et pragmatique qu'on ne croit.
Huit cents ans d'expansion
Des Song jusqu'aux Qing, du XIe jusqu'à la fin du XVIIIe siècle, la Chine a connu un temps exceptionnel d'unité, de stabilité et de prospérité. Comment l'expliquer ? Par l'existence d'une administration efficace ? Par le prestige de l'empereur ? Par les réussites économiques ? Par une cohésion sociale extraordinaire ? Éléments de réponses ici.
Les mandarins de la Chine impériale
Qui étaient les fonctionnaires de l'Empire chinois ? Des hommes cultivés imprégnés de philosophie confucéenne, ou des arrivistes corrompus qui mettaient leurs provinces en coupe réglée ? Pierre-Etienne Will brosse leur portrait, entre l'image d'Epinal et les réalités complexes d'un immense territoire à l'administration presque impossible.
Vie et mort des Ming
La dynastie chinoise des Ming, ce n'est pas seulement les porcelaines et la Grande muraille. C'est aussi une flamboyante épopée de trois siècles (1368-1644). Pierre-Etienne Will a suivi la montée au pouvoir et la chute des AAing.
Chine : la terre des grandes famines
La Chine populaire n'a pas pu éviter le retour des famines. Les héritiers de Mao prendront-ils exemple sur la « bureaucratie céleste » des empereurs pour combattre ce fléau ?