Un tout petit monde. Les réseaux grecs de l’Antiquité, Irad Malkin, Les Belles Lettres, 2018, 392 p., 26,50 €.

Histoire de la fête des Mères, Non, Pétain ne l’a pas inventée !, Louis-Pascal Jacquemond, Rennes, PUR, 240 p., 25 €.

Essais sur l’histoire de la pensée politique au Japon, Maruyama Masao, trad. du japonais par Jacques Joly, Les Belles Lettres, 2018, 530 p., 25 €.

La Trajectoire du Japon moderne. Regards critiques des années 1950, Nicolas Mollard (dir.), trad. groupe de Genève, Les Belles Lettres, 2018, 224 p., 26, 90 €.

Histoire de l’Angola de 1820 à nos jours, David Birmingham, Chandeigne, 2019, 309 p. 20 €.

Spécialiste italien de l’époque napoléonienne, Luigi Mascilli Migliorini brosse ici une biographie rigoureuse et élégante qui épouse le caractère de son modèle, le prince de Metternich (1773-1859).

Vrais escrocs pour la plupart, selon Jean Tulard qui signe la préface, les quatre « faux Napoléon » nous en disent long sur la manière dont un peuple vit l’absence d’un homme qui a bouleversé son destin pendant deux décennies.

Dominée par l’écrasant souvenir de Talleyrand, la figure d’Armand de Caulaincourt, duc de Vicence, est relativement mal connue car aucun historien n’avait écrit une biographie sur ce discret diplomate très proche de Napoléon. Olivier Varlan comble ce vide dans un ouvrage issu de sa thèse.

La Vie dérobée de Sabina Spielrein, Violaine Gelly, Fayard, 2018, 284 p., 20 €

La Police face aux sexualités masculines à Paris, 1919-1940, Romain Jaouen, Rennes, PUR, 2018, 263 p., 20 €.