Soutenir Franco... pour le pire
Alejandro Amenabar évoque les cas de conscience qui ont accompagné le coup d'État de 1936 en Espagne.
Alejandro Amenabar évoque les cas de conscience qui ont accompagné le coup d'État de 1936 en Espagne.
Francisco Franco est mort il y a trente ans, en novembre 1975. En 1939, cet ambitieux sans véritables convictions politiques était devenu le maître de l'Espagne, inaugurant une longue dictature.
Après une longue agonie, le Caudillo a enfin expiré. L'Espagne peut se remettre à vivre. Sous l'autorité du roi Juan Carlos.
Dans les années 1930, la domination allemande s'appesantit sur l'Europe et l'entreprise d'externiination des Juifs devient une réalité. L'Espagne de Franco apparaît de plus en plus, pour des milliers de sépharades, comme une terre d'asile. Le Caudillo était pourtant ouvertement antisémite... Comment expliquer ce paradoxe ?
Francisco Franco est mort il y a vingt ans, en novembre 1975. En 1939, à l'issue d'une guerre civile d'une cruauté inouïe, il était devenu le maître incontesté de l'Espagne, inaugurant une longue dictature. En France, on sait peu de chose du personnage, et des conditions dans lesquelles il est parvenu au pouvoir. Bartolomé Bennassar, qui vient de lui consacrer une biographie, retrace ici les étapes de l'extraordinaire ascension d'un homme médiocre.
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