Enquête sur une catastrophe européenne
Le conflit qui déchire l'Europe entre 1618 et 1648 est souvent considéré comme une guerre de religion, il a laissé le souvenir d'un traumatisme sans précédent. Retour sur quelques idées reçues.
Le conflit qui déchire l'Europe entre 1618 et 1648 est souvent considéré comme une guerre de religion, il a laissé le souvenir d'un traumatisme sans précédent. Retour sur quelques idées reçues.
Figure ambivalente, le mercenaire Sampiero Corso, passé au service du roi de France dans les années 1550-1560, a combattu les Génois.
Le romancier a écrit des fictions qui servent aujourd'hui de « manuels » aux commandements militaires latino-américains.
Une mythologie du combattant américain s'est forgée dans la Seconde Guerre mondiale. Elle perdure malgré le désastre du Vietnam et les scandales de l'Irak ou de l'Afghanistan. Quelles furent les motivations réelles de ces hommes partis se battre à des milliers de kilomètres de chez eux ?
En 1494, les Français entrent en Italie. Un choc pour Machiavel, ce grand penseur de l'État. Selon lui, la faiblesse des cités italiennes s'explique par le recours à des troupes de mercenaires. La solution : constituer une armée de citoyens, nationale et permanente.
Au centre des recherches actuelles sur la guerre en Grèce, le statut des stratèges, ces généraux élus pour mener campagne, et révocables par le peuple. Des citoyens patriotes, ou des mercenaires soucieux de faire fortune ?
A la fin du règne de Louis XIV, l'armée française est, de loin, la plus nombreuse d'Europe : un homme sur dix porte alors les armes ! Des soldats qui n'étaient pas tous volontaires. Une mise au point d'André Corvisier, auteur d'une « Histoire militaire de la France ».
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