Amos Gitai, au nom de Rabin
Le réalisateur israélien a versé à la BNF les archives de ses oeuvres consacrées à Yitzhak Rabin. Elles sont exposées.
Le réalisateur israélien a versé à la BNF les archives de ses oeuvres consacrées à Yitzhak Rabin. Elles sont exposées.
Le 4 novembre 1995, le premier ministre israëlien Yitzhak Rabin était assassiné lors d'une grande fête organisée à Tel-Aviv. Dans nos archives, Élie Barnavi, présent ce jour là, revient sur les événements.
Amos Gitaï dans le maelström de l'histoire israélienne. En salles le 16 décembre 2015.
Les accords d'Oslo avaient soulevé un immense espoir de paix. Quinze ans plus tard, l'État palestinien n'a toujours pas vu le jour. Et la paix semble moins que jamais envisageable. Que s'est-il passé ?
Historien, mais également militant de la paix, Élie Barnavi a participé de très près à la grande fête donnée à Tel-Aviv, le 4 novembre 1995, au cours de laquelle le Premier ministre Yitzhak Rabin a été assassiné. Il se souvient.
Artisan de la paix israélo-arabe, Yitzhak Rabin, accuse de brader la «Terre promise», est assassiné. Par un Israélien...
La poignée de main entre les ennemis d'hier, Rabin et Arafat, laissait espérer la paix en Israël. Mais le processus semble aujourd'hui enrayé.
Entre Israël et ses voisins arabes, la guerre a commencé le 15 mai 1948, le lendemain même de la proclamation d'Indépendance. Elle s'est poursuivie, de façon sporadique, depuis, dans des conflits d'où l'État hébreu est ressorti vainqueur, sans que la situation soit stabilisée pour autant. Un demi-siècle plus tard, la paix est-elle enfin possible ?
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