Théorie économique

Guerre et paix entre les monnaies

Alors que l'Union européenne se trouve en récession et que la zone euro est menacée d'éclatement, il paraît bon de remettre cette crise en perspective. La guerre des monnaies n'est-elle qu'un reflet de la guerre des puissances ? Ou peut-elle y mener ? Comment faire pour réguler les changes ? Les unions monétaires sont-elles vouées à l'échec ? A toutes ces questions, l'histoire n'apporte pas de solution miracle. Mais ouvre des perspectives utiles.

Six questions sur le capitalisme

Quand les Français disent qu'ils n'aiment pas le capitalisme, que dénoncent-ils vraiment ? L'argent sera cette année, du 12 au 15 octobre, le thème des Rendez-vous de l'histoire de Blois. Retour à cette occasion sur les aléas de l'économie de marché.

D'où vient la richesse des nations

Si certains pays sont pauvres alors que d'autres sont riches, faut-il incriminer l'exploitation des premiers par les seconds ? L'esclavage ou la colonisation sont-ils à l'origine de la misère du tiers-monde ? Certainement pas, répond François Crouzet, reprenant les thèses de l'Américain David Landes. Pour ces deux historiens de l'économie, la réussite d'une nation s'explique d'abord par sa culture : son ouverture à l'étranger, sa tolérance idéologique et religieuse.

Jean Bodin ou la richesse expliquée aux profanes

Cette abondance de richesses, perceptible partout en Europe, comment l'expliquer ? Jean Bodin, précurseur de nos économistes, s'y emploie avec intuition. Il met en avant le rôle des hommes qui travaillent et consomment, celui des banques et celui des princes.

Vive l'État !

Comment lutter contre la pauvreté et la délinquance ? En créant des entreprises, proclame Antoine de Montchrestien, précurseur méconnu de Colbert.

La profession de foi de John Maynard Keynes

La profession de foi de John Maynard Keynes Après tout, les choses ne vont pas si mal ! Et quand elles vont très mal, elles ne peuvent que s'améliorer... Telle la profession de foi de John Maynard Keynes, économiste de génie qui s'affirma, au début du XXe siècle, comme un adversaire résolu des révolutions sociales.