Elle court, elle court, la rumeur...
« Les chambres a gaz n 'ont pas existé », « François Mitterrand a le cancer », « La mobilisation de 1914 s'est faite dans l'enthousiasme », « Yalta, c'est le partage du monde »... Pourquoi tant de rumeurs, d'informations inexactes, d'erreurs délibérées ? La répétition d'une idée fausse suffit parfois à lui donner un label de vérité. D'où le rôle de l'historien : rétablir les faits.
La ligne du parti communiste
Mener le combat antifasciste, et se plier sans sourciller aux directives de l'Internationale communiste, dictées par Moscou. Telle est la gageure confondante à laquelle le parti communiste français fut acculé dès la veille de la Seconde Guerre mondiale.
Mourir à Verdun
A Verdun, du 21 février au 18 décembre 1916, c'est l'enfer. Et l'horreur de la guerre prend des dimensions jamais atteintes. On comprend alors pourquoi l'un des plus terribles secrets fut celui des pertes. Mais qu'est-ce qui a pu pousser ces hommes à se faire tuer plutôt que d'abandonner la lutte ?
La guerre de 1914, la Belgique et la question flamande
En Belgique, la guerre de 1914 prend un éclairage nouveau. Elle serait à l'origine de la question flamande*.
Ne touchez pas au Front populaire !
L'« histoire édifiante » correspond rarement à la réalité des faits. Le récit exact des origines de l'alliance entre communistes et socialistes en 1936, aujourd'hui bien connu, en est une parfaite illustration.
1917 : l'année terrible
1917 : l'année « trouble » pour la France. L'année où tout a failli basculer. Echec des offensives, massacres en chaîne, démoralisation de l'armée, mutineries... La Révolution pouvait-elle éclater comme en Russie ?
20 millions de morts ! la grippe espagnole a frappé
la Première Guerre mondiale a tué moins de monde que la « grippe espagnole » qui pourtant n'a inspiré aucune terreur.
Les débuts du « Canard Enchaîné »
Il a beau être devenu une institution, ces derniers mois ont montré que Le Canard enchaîné était toujours redoutable et redouté : dans les mares politiques, gare à ses coups de bec ! Mais de quelle couvée sort-il, cet étrange palmipède ?
La bataille de la Marne ou la fin des illusions
Derrière la placidité de Joffre, les taxis mobilisés par Gallieni et le sacrifice de milliers de combattants, il faut savoir lire un paradoxe : cette victoire apprend aux Français que la guerre sera longue et totale.