Jean-Jacques Becker

Elle court, elle court, la rumeur...

« Les chambres a gaz n 'ont pas existé », « François Mitterrand a le cancer », « La mobilisation de 1914 s'est faite dans l'enthousiasme », « Yalta, c'est le partage du monde »... Pourquoi tant de rumeurs, d'informations inexactes, d'erreurs délibérées ? La répétition d'une idée fausse suffit parfois à lui donner un label de vérité. D'où le rôle de l'historien : rétablir les faits.

La ligne du parti communiste

Mener le combat antifasciste, et se plier sans sourciller aux directives de l'Internationale communiste, dictées par Moscou. Telle est la gageure confondante à laquelle le parti communiste français fut acculé dès la veille de la Seconde Guerre mondiale.

Mourir à Verdun

A Verdun, du 21 février au 18 décembre 1916, c'est l'enfer. Et l'horreur de la guerre prend des dimensions jamais atteintes. On comprend alors pourquoi l'un des plus terribles secrets fut celui des pertes. Mais qu'est-ce qui a pu pousser ces hommes à se faire tuer plutôt que d'abandonner la lutte ?

1917 : l'année terrible

1917 : l'année « trouble » pour la France. L'année où tout a failli basculer. Echec des offensives, massacres en chaîne, démoralisation de l'armée, mutineries... La Révolution pouvait-elle éclater comme en Russie ?