Le rôle historique en Europe de la Démocratie chrétienne.

En 1870, le pape est le dernier obstacle politique à l'unité de l'Italie.

A la différence de l'Italie et de l'Allemagne, la greffe démocrate-chrétienne n'a jamais pris en France. Malgré l'activisme et le rayonnement de personnalités comme Albert de Mun, Marc Sangnier ou Georges Bidault. Pourquoi ?

L'affaire a défrayé la chronique en 1981. Quelles étaient les relations entre la banque du Vatican et le Banco Ambrosiano, en faillite à Milan ? Quel était le rôle du mystérieux Mgr Marcinkus ? Pour le comprendre, il faut remonter aux sources du financement de l'État pontifical.

L'engagement des Etats-Unis en Bosnie ou au Proche-Orient masque un retour en force de la tentation isolationniste. Une étude récente et plusieurs sondages invitent à revenir sur ce vieux débat qui, depuis deux cents ans, divise l'opinion publique américaine*.

Au Parlement européen de Strasbourg, le groupe formé par les démocrates - chrétiens ne compte que dix Français sur cent vingt et un membres... Pourquoi, malgré l'activisme et le rayonnement de personnalités comme Albert de Mun, Marc Sangnier ou Georges Bidault, la greffe démocrate-chrétienne n'a-t-elle jamais pris en France ?

«Dans cinquante ans, Rome devra apparaître merveilleuse à tous les peuples kdu monde ; vaste, ordonnée, puissante, comme elle l'était aux temps du premier Empire d'Auguste. » Mussolini eut moins de vingt ans pour tenter de réaliser ce projet, présenté au Capitole le 31 décembre 1925, et qui donna à la capitale italienne son visage actuel.

L'Italie vient de commémorer le vingtième anniversaire de la mort de Luigi Sturzo. De tous les combats du « père de la démocratie chrétienne », celui qu'il mena contre le fascisme fut à la fois le plus difficile, le plus long, et celui qui lui apporta le plus de désillusions...