« Les Diverses Familles spirituelles de la France » de Maurice Barrès
Renonçant à son nationalisme fermé, Barrès célèbre la France plurielle dans l'union sacrée.
Les familles s'invitent
De l'effacée Yvonne de Gaulle à l'artiste Carla Bruni, l'image et la place des compagnes des présidents ont beaucoup changé.
« Nous sommes ceux d'en bas »
Pour Jean-Claude Michéa, le drame du socialisme c'est de s'être compromis avec les partis politiques bourgeois. Il faut retrouver les chemins qui, de Proudhon à Podemos, forgent la conscience des « gens ordinaires ». Une vision historique discutable.
Comment Mitterrand a amené la gauche au pouvoir
En 1958, Mitterrand est entré dans l’opposition. Mais, déjà, il se positionne pour l’avenir. Au point de devenir le leader de la gauche et, en 1981, d’accéder aux plus hautes fonctions de l’État. Récit d’une double conquête.
Nouvelle querelle sur l'histoire de france
Le projet de programme d'histoire pour le collège a, une fois encore, ce printemps, soulevé les passions : la France y serait négligée ou abordée sous son profil le moins flatteur. Nous avons demandé à quatre historiens ce qu'ils pensaient de ces controverses et comment on pouvait encore faire et enseigner l'histoire de France.
Un syndrome français
Quel bilan peut-on faire des quinze années du Consulat et de l'Empire ? Lionel Jospin, qui vient de publier Le Mal napoléonien, a accepté d'en débattre avec les historiens Jean Tulard et Michel Winock. Débat entre Lionel Jospin, Jean Tulard et Michel Winock
Avril 1914. En finir avec « La République des camarades »
Alors que la guerre menace, l'impitoyable description du Palais-Bourbon par Robert de Jouvenel vise au coeur la république parlementaire.
Fascistes, les Croix-de-Feu ?
La publication des Mémoires du colonel de La Rocque et un colloque à Sciences Po sur le PSF relancent la question.
1er avril 1914, Gide, Claudel et le pédéraste
Au printemps 1914, Les Caves du Vatican, bouffonnerie qui sent le soufre, déclenche la colère de Claudel.
Réforme ou révolution ?
Son engagement a d'abord été républicain. Quand il est devenu socialiste, à plus de 30 ans, il n'a jamais opposé l'utopie collectiviste, la dynamique syndicale à l'action parlementaire. Pour Jaurès, la révolution devait se faire à petits pas.