Lire par temps de malheur
Les Français ont beaucoup lu durant les années noires. Comment expliquer cette faim de lecture ?
Les Français ont beaucoup lu durant les années noires. Comment expliquer cette faim de lecture ?
Depuis les années 1880, les Japonais se veulent les héritiers de la civilisation grecque.
Le marché de l’art sous l’Occupation, Emmanuelle Polack, Paris, Tallandier, 2019, 304 p., 21,50 E.
Comédie-Française. Une histoire du théâtre, Agathe Sanjuan, Martial Poirson, Seuil, 2018, 304 p., 39 €.
Le Modernisme réactionnaire. Haine de la raison et culte de la technologie aux sources du nazisme, Jeffrey Herf, L'Échappée, 2018, 320 p., 22 €.
Pierre Schoendoerffer ou la guerre, Sophie Delaporte, Nouveau Monde Éditions, 2018, 192 p., 18,90 €.
Le Voyage à Compostelle, du Xe au XXe siècle, Adeline Rucquoi, Françoise Michaud-Fréjaville, Philippe Picone (dir.), Robert Laffont, 2018, 1 536 p., 33 €.
Le Génie civil de l'armée romaine, Gérard Coulon (texte) et Jean-Claude Golvin (illustrations), Arles, Actes Sud-Errance, 2018, 160 p., 33 €.
Dans la voie de Dieu. La conquête arabe et la création d'un empire islamique, VIIe et VIIIe siècles, Robert G. Hoyland, traduit de l'anglais par Bernard Frumer, Alma, 2018, 364 p., 25 €.
Aux origines de la Torah. Nouvelles rencontres, nouvelles perspectives, Israël Finkelstein, Thomas Römer Bayard, 2019, 262 p., 19,90 €.
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