Fenimore Cooper, le dernier des feuilletonistes américains
Il y a deux cents ans naissait James Fenimore Cooper, l'auteur du Dernier des Mohicans. Son œuvre est capitale dans la naissance du western et des grands mythes de l'odyssée américaine*.
Il y a deux cents ans naissait James Fenimore Cooper, l'auteur du Dernier des Mohicans. Son œuvre est capitale dans la naissance du western et des grands mythes de l'odyssée américaine*.
Les sorciers ne sont-ils que des «charlatans» et des «habitués du démon» ? Pour les jésuites du XVIIIe siècle, les praticiens indiens d'Amérique du Nord ressemblent à Diafoirus. D'autres sources sont plus nuancées et les recherches récentes insistent davantage sur les réussites de ces thérapies, où le sorcier a un côté «médecin de famille» frotté de «psychanalyse».
Séduits par la politique d'évangélisation des missionnaires jésuites, les Indiens d'Amérique ont eu tôt fait de vénérer l'écriture, dépositaire, à leurs yeux, d'un pouvoir magique. Trois siècles après l'arrivée des Européens dans le Nouveau Monde, on évalue mieux aujourd'hui l'impact de la « civilisation du tivre » sur les communautés indigènes.
Mon premier monte à cru son mustang. Mon second est couronné de plumes. Mon troisième a un goût immodéré pour l'eau-de-feu. Mon tout sera la réfutation de l'équation stéréotypée : Indien = ivrogne.
Pour en finir avec la légende, des spécialistes de l'archéologie des champs de bataille ont reconstitué le déroulement de la fameuse défaite de Little Bighorn, )ù le général Custer, encerclé par les Indiens, périt avec deux cent dix de ses hommes. Le résultat, étonnant de précision et de vérité, ne laisse plus rien dans l'ombre.
« Go West young mon ! » Cette injonction célèbre résume la préoccupation essentielle des Etats-Unis au cours du siècle qui suit leur indépendance. La ruée vers l'Ouest est ponctuée de souffrances, d'épidémies, de guerres indiennes. Un succès chèrement payé, constitutif de la mythologie américaine.
Des captifs tortures affreusement ou adoptés comme des êtres chers... Un ethnohistorien américain a entrepris d'expliquer les étranges coutumes des Indiens iroquois.
Les Indiens des États-Unis réclament leurs droits de propriété sur des terres confisquées depuis plus d'un siècle. La Cour suprême et l'ONU s'en mêlent. Un Américain nous en parle.
1796 : un Français débarque aux Amériques. « Fasciné par les Indiens, il souhaite apprendre beaucoup d'eux. » Il s'appelle Louis-Philippe d'Orléans. Mais qu'a-t-il appris des Indiens ? Philippe Jacquin a relu pour nous son « Journal » conservé aux Archives nationales.
Les westerns racontent Je sort horrible du Bianc prisonnier des Indiens... Pourtant de nombreux captifs refusaient de quitter leurs geôbers «sauvages».' C'est ce que disent la plupart des témo:gnages regroupés aujourd'hui en une monumentale édition*.
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