La Commune : la culture pour tous !
Au gouvernement, à la Garde nationale ou dans les écoles : la participation des artistes à la Commune fut inédite. Ils y ont insufflé les idéaux de liberté créatrice et d'autogestion, parfois au péril de leur vie.
Au gouvernement, à la Garde nationale ou dans les écoles : la participation des artistes à la Commune fut inédite. Ils y ont insufflé les idéaux de liberté créatrice et d'autogestion, parfois au péril de leur vie.
L'artiste a croqué des personnages du XVIIIe siècle de toutes conditions et les a parfois animés pour le plaisir de la famille d'Orléans.
Personnalité d'exception, l'artiste toscan fut aussi un homme de son temps. Ingénieur militaire et ordonnateur des fêtes princières, il n'a sans doute pas inventé les machines qu'on lui prête. Mais il maîtrisait le trait comme personne. Et nul autre n'a représenté le monde de cette manière.
En invitant Michel-Ange à participer au chantier de Saint-Pierre de Rome, le pape Jules II, le plus puissant des mécènes, reprend à son compte l'idée de magnificence, chère aux princes de la fin du Moyen Age. Ce couple fondateur a donné naissance à d'inégalables chefs-d'oeuvre.
De l'impossibilité de l'offensive décisive est né le « front » : un étrange univers qui a façonné les artistes.
Les anecdotes exceptionnelles complaisamment rapportées par Giorgio Vasari en 1550 redonnent vie à Giotto, Michel-Ange, Léonard de Vinci... Le grand historien d'art André Chastel nous en rappelle la richesse inépuisable.
Peintre de génie, Picasso a également été pris dans les soubresauts de son époque, affaire Dreyfus, guerre d’Espagne, communisme... Engagé, mais refusant de se laisser embrigader, fidèle à ses amis, mais prudent. Portrait de l’artiste en animal politique.
En 1845, la tombe d'une femme gallo-romaine, ensevelie avec ses boîtes à couleurs et ses palettes, est découverte en Vendée. Malgré les efforts du collectionneur Benjamin Fillon, cette artiste du IIIe siècle reste un mystère.
Quand et comment des peintres ont-ils eu l’idée de se représenter sur leur oeuvre ? Un beau livre du sémiologue Omar Calabrese nous rappelle qu’il ne s’agit pas seulement d’une évolution technique. Mais bien d’un changement dans le statut du peintre.
1914-1918 a eu de tragiques conséquences dans le domaine artisticjue. Envoyés sur le front, certains peintres y meurent. Les autres échouent à rendre compte de la guerre. La paix revenue n'efface pas le traumatisme : toute préoccupation esthétique n'est-elle pas devenue vaine ?
En poursuivant votre navigation sur les sites du groupe Sophia Publications, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des services et contenus personnalisés.