Ce que veulent les Belges
Révolution patriotique, révolte francophone ou sécession catholique ?
Révolution patriotique, révolte francophone ou sécession catholique ?
En 1860, pour une majorité de la population, le français n'est pas la langue principale. C'est la IIIe République qui va en faire un moteur d'unité nationale, supplantant tous les critères ethniques, géographiques ou religieux.
Des étudiants étrangers à la Sorbonne, l'idée n'est pas neuve. En 1919 déjà, les Cours de civilisation française montraient le désir d'ouverture et de rayonnement de l'Université de Paris.
A l'occasion de la Journée internationale de la francophonie, le 20 mars, rencontre avec sa secrétaire générale, Haïtienne réfugiée au Canada.
Cet historien de la langue, « rectificateur » de l'orthographe et inventeur de mots, publie un ouvrage réjouissant sur les trésors du français de francophonie.
Moitié indiens, moitié européens, les « Bois-Brûlés » du Canada appartiennent à la grande aventure de l'Ouest. Si le Québec célèbre aujourd'hui leur révolte, le sort de ces Métis francophones et catholiques laissa longtemps l'opinion indifférente.
Révolte d'esclaves à Haïti, vente de la Louisiane, défaites militaires face aux Anglais : la fin de l'empire colonial français aux Amériques ne ressemble à aucune autre.
On commémore de part et d'autre de l'Atlantique la fondation de Québec par des Français, il y a quatre cents ans. Mais que célèbre-t-on au juste ? Et avec quel enthousiasme?
En poursuivant votre navigation sur les sites du groupe Sophia Publications, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des services et contenus personnalisés.