Walter Scott, best-seller européen
Sa capacité à donner à l'histoire nationale une portée universelle et sa langue, l'une des plus parlées en Europe, firent de Walter Scott l'auteur de best-sellers internationaux.
Sa capacité à donner à l'histoire nationale une portée universelle et sa langue, l'une des plus parlées en Europe, firent de Walter Scott l'auteur de best-sellers internationaux.
Il a enthousiasmé des générations de jeunes lecteurs. Pardaillan, créé par Michel Zévaco il y a un siècle, a été le héros le plus populaire de son temps.
Image et texte gravés sur une planche unique : c'est le Japon qui a inventé le procédé mêlant illustrations et récit, il y a quatre siècles. On sait pour quelle postérité...
Depuis quelques années, on considère d'un oeil moins caricatural le règne de Néron, au Ier siècle. Murena, bande dessinée historique dont le cinquième volume vient de sortir, y contribue.
Des livres pour le prix d'un pain ! Depuis quelques années, la formule fait fortune. C'était déjà l'idée, au XVIIe siècle, d'un imprimeur de Troyes : lui et ses confrères inondèrent la France d'opuscules à couverture bleue. Une exceptionnelle aventure éditoriale racontée dans « Bouquins ».
A partir du milieu du XVIe siècle, l'astrologie s'adresse à un public de plus en plus nombreux, grâce au développement de l'imprimerie. D'où le succès des almanachs à bon marché, colportés jusque dans les campagnes.
Il y a cent cinquante ans triomphait un genre nouveau, dont les représentants les plus glorieux s’appelaient Alexandre Dumas ou Eugène Sue. Le roman-feuilleton faisait la conquête du public populaire. Et inquiétait penseurs et politiques, qui voyaient dans cette « littérature pour les épiciers » le signe avant-coureur d’un terrifiant gouvernement des masses.
Plébiscite par le public, longtemps méprisé par les intellectuels, Alexandre Dumas est, de loin, le romancier français le plus adapté à l'écran. D'où vient un tel succès?
« Tete de Boche », « Le Sang de la France », ou encore « Rouletabille chez Krupp » : autant de titres révélateurs d'un genre qui connut un vif mais éphémère succès. Défaits sur le terrain à Sedan, les Français ont eu leur revanche sur le papier.
Mandrin, Cartouche, Marion du Faouët, Gaspard de Besse... Cent autres brigands sont entrés avec eux dans la légende picaresque des bandits de grand chemin et des contrebandiers. Gentilshommes ou vagabonds, ils volent, pillent, violent et assassinent. Ils narguent l'autorité royale, la maréchaussée et les gabelous, mais leurs victimes étaient souvent les humbles gens.
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