L'argot « lache la rampe »
On ne meurt pas, on « tourne le coin », on «va sous les fleurs», on «avale son bulletin de naissance». Quel feu d'artifice ! Demain, vous ne comprendrez peut-être plus. C'est au moment où l'argot «lâche la rampe», constate Jacques Cellard, qu'on s'intéresse sérieusement à lui*.