Frankenstein : le cinéma crée le mythe
Il y a deux cents ans, le 11 mars 1818, Mary Shelley publiait Frankenstein ou Le Prométhée moderne. Mais c'est la Créature qui, à l'écran, est devenue un mythe.
Il y a deux cents ans, le 11 mars 1818, Mary Shelley publiait Frankenstein ou Le Prométhée moderne. Mais c'est la Créature qui, à l'écran, est devenue un mythe.
Staline en fin de vie, les exterminateurs nazis, et aujourd'hui un serial killer des années 1960 : l'écrivain Marc Dugain ausculte les têtes brûlées du XXe siècle.
Les créatures les plus étranges s'invitent à Nancy. Un parcours au pays des monstres, à la fois cocasse, fascinant et effrayant.
L'Antiquité avait ses mythes ; le Moyen Age a ses légendes et son cortège de merveilles. Jacques Le Goff fait revivre ce monde enchanté à l'abbaye de Fontevraud, tout au long de l'été.
Des eaux, des vents, des roches au pouvoir mystérieux. Un univers où cohabitent la Tarasque, les dracs et les fantômes. Le pays des miracles et des sorts. Tel est, décrit par le chroniqueur anglais Gervais de Tilbury, le royaume d'Arles.
En mars 1818 est publié à Londres l'un des plus grands best- sellers de tous les temps : «Frankenstein>>. L'auteur n'a pas voulu dévoiler son iden- 1 tité. Il s'agit de Mary Shelley, la femme du célèbre poète anglais ; eue n a pas vingt ans. La « créature » qu'elle vient d'inventer va devenir un mytne.
Hommes à tête de chien, monstres sans tête, cyclope à l'œil unique au milieu du front... Au Moyen Age, nous rappellent plusieurs livres*, l'Orient était le refuge des fantasmes de l'Occident et permettait toutes les libertés, même les plus folles.
A l'époque du marquis de Sade, la passion scientifique et les derniers frissons de l'art baroque donnent naissance, à Florence, au premier musée moderne de cires anatomiques. Mais non sans effroi, on découvre la « vérité » du corps.
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