La République a-t-elle voulu la guerre ?
Messianisme révolutionnaire ? C'est vite dit. La déclaration de guerre, le 20 avril 1792, est d'abord fondée sur un réflexe défensif.
Messianisme révolutionnaire ? C'est vite dit. La déclaration de guerre, le 20 avril 1792, est d'abord fondée sur un réflexe défensif.
Pour emporter la condamnation de Dreyfus en 1894, un « dossier secret » avait été constitué à l'intention des juges. Que contenait-il ? Sur quoi reposaient les accusations contre le capitaine ?
La nation s'apprête à élire le chef de l'État. Mais qu'adviendra-t-il de ses archives et de celles de ses collaborateurs ? Que sont devenues celles de ses prédécesseurs ? Histoire des relations parfois conflictuelles entre le président et l'archiviste dont l'enjeu est la conservation et la communication de papiers au coeur de l'activité de l'État.
La première République française, en 1792, n'avait pas de président. D'où vient l'idée, qui s'impose finalement en 1848, de confier le pouvoir exécutif à un seul homme ? Et comment ne pas donner un pouvoir disproportionné à celui que l'on décide, alors, de faire élire au suffrage universel ? Le casse-tête constitutionnel autour du statut du chef de l'État est, en France, un sport national.
Décrire les banquets du premier XIXe siècle, c'est reconstituer la culture politique de toute une génération. Le livre de Vincent Robert a reçu le prix des Rendez-vous de l'histoire de Blois 2011.
Le débat a été ouvert dès l'été 1789. Faut-il vraiment une deuxième chambre parlementaire et à quoi sert-elle ? Depuis, il n'a jamais cessé. Le 25 septembre, 170 sièges de sénateurs sur 348 sont renouvelés. A cette occasion, la Haute Assemblée se voit dotée de cinq sièges supplémentaires, conséquence d'une réforme menée pour prendre en compte l'évolution démographique de la société française. Réforme incomplète, disent certains. Les critiques contre le Sénat, archaïque, surreprésentant la France rurale, n'ont pas été éteintes. Retour sur l'histoire chahutée d'une chambre dont l'intervention fut pourtant souvent décisive.
Le 15 novembre 1889, dans l'indifférence populaire, un coup d'État met fin à l'empire. Clientéliste, figée, monopolisée par les élites et l'oligarchie du café : la première République a cependant permis l'entrée du Brésil dans la modernité.
Pour la première fois les projecteurs sont dirigés vers la masse des humbles citoyens de la Rome républicaine.
Une « critique de la raison » appliquée à cette tradition républicaine toujours invoquée, jamais définie.
En juin 1946, après un vote contesté, l'Italie choisit la république. La victoire est célébrée dans le Nord ; le Sud monarchiste se résigne.
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