Quand la Bohême faisait l'Europe
Qui l’eût cru ? En 1462 déjà un roi de Bohême imaginait un projet d’union pour la paix et la défense de la Chrétienté. Un texte méconnu d’une étonnante modernité.
Qui l’eût cru ? En 1462 déjà un roi de Bohême imaginait un projet d’union pour la paix et la défense de la Chrétienté. Un texte méconnu d’une étonnante modernité.
Depuis le début du XXe siècle, siècle de fer et de sang, les Jeux ont souvent servi de vitrine ou de leurre aux dictatures les plus meurtrières. Ils n'ont en tout cas plus jamais échappé à la politique, qui est en quelque sorte la maladie infantile de l'olympisme !
En 1945, le Japon vaincu doit renoncer à son armée. Le pays dépend des États-Unis. Aujourd’hui deuxième puissance économique du monde, il cherche sa place dans le jeu politique international.
La réunification de l'Allemagne a fait resurgir craintes et fantasmes... Aujourd'hui apaisés.
Voilà trente ans qu'on pronostique régulièrement la fin de l'empire américain.
Tous deux sont des intellectuels qui ont assumé de hautes responsabilités politiques. Pour le Palestinien Sari Nusseibeh comme pour l’Israélien Élie Barnavi, la paix est à portée de main. Seuls manquent la volonté politique et le soutien actif de la communauté internationale.
Hadrien avait-il entendu parler de la muraille de Chine quand il édifia le réseau défensif du limes rhénano-danubien ? Ce qui est sûr, c'est que les Romains et les Chinois de l'Antiquité ne s'ignoraient pas, et que des commerçants circulaient d'un empire à l'autre...
La mondialisation suscite de nombreuses craintes. Laisse-t-elle encore une place à l'action politique ? Oui, estime Hubert Védrine, mais l'ampleur des échanges rend vaine toute action isolée. Plus que jamais les États sont contraints de négocier.
A l'aube de la révolution industrielle, la mondialisation s'accélère. Le XIXe en sera le premier âge d'or, et l'Europe occidentale, le coeur. Après un temps de repli, dans l'entre-deux-guerres, son développement reprend. Depuis 1990, la situation évolue avec une extrême rapidité.
Depuis la fin du XIXe siècle, les États-Unis n'ont pas hésité à intervenir dans cette Amérique latine qu'ils considèrent comme leur « arrière-cour ». De Monroe à Kissinger, en passant par Bush, qu'en est-il vraiment ?
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