L'ordre de Cluny (Xe-XIe siècle)

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Atlas historique mondial
p.160

L’ordre clunisien (Xe-XIe siècle)

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Atlas historique mondial - Nouvelle édition
p.212

Noirs contre Blancs

L'histoire de la rivalité entre Cluny et Cîteaux est aussi une bataille de couleurs entre le noir, symbole de l'humilité pour les Clunisiens, et le blanc, adopté en réaction par les Cisterciens.

Cluny ou la « lumière du monde »

Ses abbés sont des seigneurs. Ses dépendances sont réparties dans plusieurs royaumes occidentaux. Le pape Urbain II lui-même est un ancien clunisien. Comment des moines bourguignons en sont-ils venus à exercer un tel pouvoir ?

Les seigneurs de Cluny

En 1098, année de fondation de Cîteaux, le monastère de Cluny est au faîte de sa puissance. Ses moines sont de véritables seigneurs. Ses dépendances couvrent tout l’Occident. Sa basilique est la plus grande de la chrétienté. Le pape lui-même est un ancien clunisien. Comment des adeptes de la pauvreté et de l’humilité en sont-ils venus à accumuler tant de richesses et à, exercer un tel pouvoir ?

Le jour des morts : une invention du moyen age

C'est au xie siècle, à l'abbaye de Cluny, que fut instituée la fête des morts, que nous célébrons encore, chaque année, le 2 novembre. Il s'agissait d'une cérémonie collective destinée à favoriser le repos des défunts. Car leur disparition ne les avait pas écartés de la communauté des vivants : au Moyen Age, les solidarités d'homme à homme étaient ainsi tissées, solides et durables, entre l'Ici-bas et l'Au-delà.

Le jour des morts : une invention du Moyen Age

C’est au XIe siècle, à l’abbaye de Cluny, que fut instituée la fête des morts, que nous célébrons encore, chaque année, le 2 novembre. Il s’agissait d’une cérémonie collective destinée à favoriser le repos des défunts. Car leur disparition ne les avait pas écartés de la communauté des vivants : au Moyen Age, les solidarités d’homme à homme étaient ainsi tissées, solides et durables, entre l’Ici-bas et l’Au-delà.

Les bâtisseurs de Cluny !

Cluny ! Le nom évoque bien la paisible vallée de la Grosne que sillonnent les rames du TGV. Au loin, les contours encore nettement dessinés de l’ancienne cité monastique. Là mieux qu’ailleurs on comprend le fonctionnement d’une formidable institution de prière et de liturgie. Les recherches récentes nous disent tout sur son ascension, son apogée et son implacable déclin.