Comment la pauvreté est devenue un scandale
La pauvreté a longtemps été le lot commun de la quasi-totalité de la population. Avec la révolution industrielle du XIXe siècle apparaît une grande misère ouvrière que philanthropes et réformateurs se mettent à dénoncer. Avec cette question : comment y mettre fin ?
Six questions sur le capitalisme
Quand les Français disent qu'ils n'aiment pas le capitalisme, que dénoncent-ils vraiment ? L'argent sera cette année, du 12 au 15 octobre, le thème des Rendez-vous de l'histoire de Blois. Retour à cette occasion sur les aléas de l'économie de marché.
Le bel âge de l'industrie
Foncièrement agricole à la Libération, la France est devenue, en trois décennies, un grand pays industriel. Pour peu de temps : sa richesse provient aujourd'hui d'abord des services. Un bouleversement dont on mesure mal l'ampleur.
« Il n'y a pas de déclin français »
A ceux qui s’alarment du déclin national, Jacques Marseille oppose l’expansion exceptionnelle qu’a connue la France depuis trente ans. Il participera le 6 mars, avec Nicolas Baverez, à un débat sur ce thème, organisé par L’Histoire à la Sorbonne.
D'où vient la crise économique
Le krach pétrolier d'octobre 1973 a-t-il précipité l'Occident dans la crise économique ? Jacques Marseille montre ici que le lien est loin d'être aussi clair. La croissance était déjà à bout de souffle au début des années 1970.
« Fondamentalement, l'argent est au centre »
On a longtemps dit que le capital était à droite et le travail à gauche. A vérifier.
Les colonies, une bonne affaire ?
Chiffres en main, Jacques Marseille répond à une question controversée : les colonies ont-elles été une bonne affaire pour la France ?
A-t-il modernisé la France ?
Les chiffres sont formels : au cours des deux septennats de François Mitterrand, l'économie française s'est ouverte, les « capitalistes » ont vu leur part progresser, au détriment de celle des « travailleurs », dans la richesse du pays. Et si c'était la France active, celle du marché et de la concurrence, qui avait modernisé François Mitterrand ?
Grande misère des docks de Londres
On y travaille, on y souffre, on y supporte la plus grande misère : le port de Londres, plaque tournante du commerce international, est un lugubre décor à la Dickens.
Le XXe siècle, ou le bonheur économique
Nous avons généralement l'impression d'être les contemporains des crises les plus graves du système capitaliste. Une vision à nuancer. Depuis cent ans, régulièrement et inexorablement, les populations du monde entier n'ont cessé de s'enrichir.