Les supporters anglais des Jacobins
On chante La Marseillaise . On danse sur l'air du Ça ira . Non, nous ne sommes pas en France, mais en Angleterre. Voici l'histoire méconnue de ces supporters britanniques de 1789.
Une dictature militaire ?
On a beaucoup dit que le régime installé par le coup d'État du 18 Brumaire était une dictature militaire. Ce n'est pas si sûr : les officiers y sont toujours restés subordonnés au pouvoir politique. Mais c'est la nation tout entière, des élites à l'université, qui fut alors organisée comme une armée.
La « petite guerre » des honneurs
Un général qui se fâche tout rouge parce que, à la cathédrale, son fauteuil est moins élevé que celui du préfet; un officier d'état-major qui, de la nef au porche, prend le pas de charge pour distancer un juge... Faut-il seulement sourire de ces algarades qui opposent militaires et civils sous le Premier Empire ?
La loterie royale, c'est facile et...
La loterie royale, c'est facile, c'est populaire et ça peut rapporter gros... surtout à l'État. Comment concilier alors l'intérêt du pays et la moralité publique ? La question semble bien posée par les révolutionnaires de 1789. Elle reste d'actualité.
La «petite guerre» des honneurs sous Napoléon
Un général qui se fâche tout rouge parce que, à la cathédrale, son fauteuil est moins élevé que celui du préfet. Un capitaine qui se vexe pour une place dans un cortège... Querelles futiles ou enjeux politiques ? A travers des papiers administratifs déposés aux Archives nationales, Jean-Paul Bertaud a suivi la « petite guerre » des honneurs et des préséances sous l'Empire.
Les sans-culottes et les filles de joie
Les filles de joie comptaient sur la Révolution pour améliorer leur sort... Jean-Paul Bertaud a lu dans leurs interrogatoires le récit de leurs malheurs. Avec la Terreur commençait le règne de la vertu.
Les mariés de l'An II
Le mariage? Un acte «révolutionnaire». L'échange des promesses devant J'auteJ de la patrie devient un devoir civique. C'est la ruée...
La presse de droite dans l'opposition : « L'Ami du roi » contre « L'Ami du peuple »
Le pouvoir de la presse est décisif. Sous la Révolution française, déjà, la «droite*» comme la «gauche» cherchèrent à s'en emparer. Et cela explique bien des choses...