L'« Homo oeconomicus » préhistorique
Contre des idées reçues, les sociétés préhistoriques ne connaissaient pas la pénurie. Et leurs décisions économiques relèvent autant de facteurs culturels que biologiques.
Contre des idées reçues, les sociétés préhistoriques ne connaissaient pas la pénurie. Et leurs décisions économiques relèvent autant de facteurs culturels que biologiques.
La question a fait, depuis Adam Smith, l'objet d'intenses débats, mais il semble bien que la traite et les plantations ont été très profitables.
En juillet 2022 se tiendra à Paris le XIXe Congrès mondial d'histoire économique. Une discipline en plein renouvellement.
Google, Apple, Facebook, Amazon et Microsoft : plus riches que beaucoup d'États, puissantes par leurs milliards d'utilisateurs, ces entreprises sont-elles devenues le bras armé de l'expansionnisme états-unien ?
En 1974 l'anthropologue bouleversait la vision des sociétés primitives en déconstruisant le mythe du « sauvage » luttant pour sa subsistance.
Les conflits menés par les États-Unis au nom de la lutte contre le terrorisme ont eu un coût humain, financier, mais aussi moral, considérable. Ils ont changé la façon de faire la guerre.
A chaque époque sa « révolution industrielle ». L'expression apparaît dès la Révolution française. Et, depuis deux cents ans, ce concept a été utilisé pour dénoncer ou justifier les mutations en cours.
A partir du XIXe siècle, alors que la Grande-Bretagne, l'Europe, puis le monde s'industrialisent, le terme « industrie » change de sens, se chargeant de toutes les promesses de progrès, mais aussi de craintes. Jusqu'aux remises en cause contemporaines.
Des bâtiments endommagés derrière des façades restaurées, de splendides demeures aristocratiques en partie abandonnées... La Rome du Ve siècle, trop grande pour ses habitants, se transforme en chantier permanent.
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