A la fin du XVIIIe siècle l'anthropologie se constitue comme « histoire naturelle de l'homme », avec l'ambition d'expliquer la diversité de l'espèce humaine. Les anthropologues vont alors s'attacher à définir des races « scientifiquement ». Mais les débats font rage.
L'anthropologue raconte un Pasteur porte-parole d'une société en guerre contre les microbes.
Dans les années 1970, l'anthropologue Philippe Descola a vécu trois ans dans la forêt amazonienne avec les Achuar. Il y a découvert un monde où les plantes et les animaux sont des partenaires sociaux.
A travers ses oraisons funèbres, la cité grecque a transformé les citoyens-soldats en héros. Un moyen de glorifier les vivants et d'assurer la cohésion sociale.
Au XIXe siècle les savants s'interrogent. Comment définir les Français ? Comment expliquer la variété des langues ? Y a-t-il des ancêtres communs ? Le questionnement se pose très vite en termes de race.
Passionné par l'anthropologie, l'historien américain a étudié la sexualité et les relations entre vivants et morts.
La grande anthropologue, morte le 15 novembre 2017, s'est d'abord intéressée à l'histoire.
Qu'est-ce qu'une famille ? La simple cellule conjugale ou un système plus large de parenté ? Pourquoi n'épouse-t-on pas son cousin ? Pour répondre, il faut croiser l'histoire et l'anthropologie. Et renoncer à bien des idées reçues.
Le 17 octobre 2015, le musée de l'Homme de Paris rouvrira ses portes après six ans de travaux. Retour sur la naissance de cette institution.
Six ans après sa mort, la première biographie de Claude Lévi-Strauss.
