Charles Quint

Face au péril turc

En 1529, les Ottomans arrivent aux portes de Vienne. L'empire de Charles Quint tremble. La menace turque semble surtout confirmer le message de Luther : Dieu veut punir la chrétienté.

Le rêve brisé de Charles Quint

Charles Quint régnait sur un immense empire sur lequel « le soleil ne se couche jamais » . La démesure de ce pouvoir impossible à assumer le conduisit à l'abdication. Un geste finalement pas si mystérieux.

Le grand rêve européen de Charles Quint

On célèbre, cette année, le cinq centième anniversaire de la naissance de Charles Quint. Son empire, étendu des Flandres à l'Italie et de l'Amérique latine aux portes de l'Empire ottoman, a semblé incarner le rêve d'une chrétienté universelle. Or l'homme mélancolique qui abandonne le pouvoir a vu s'effondrer l'essentiel de ses ambitions. Après sa mort, toute possibilité d'unification européenne aura bel et bien disparu.

La rançon d'un roi : deux millions pour libérer François Ier !

L'empereur Charles Quint voulait la Bourgogne. Le roi François Ier, son prisonnier depuis la bataille de Pavie, refusait de la lui céder. Mais il était prêt à verser une rançon pour sa libération. Elle serait de deux millions d'écus. Une somme énorme, à répartir sur l'ensemble des sujets du royaume. Et que ceux-ci payèrent avec plus ou moins de bonne volonté.

Les voyages de Charles Quint

« J'ai fait de fréquents voyages: neuf en Allemagne, six en Espagne, sept en Italie, dix aux Pays-Bas, quatre en France, tant en paix qu'en guerre, deux en Angleterre, deux en Afrique, en tout quarante. » Il n'est pas facile de suivre cet éternel voyageur que fut Charles Quint.