Churchill (Sir Winston)

Dardanelles : le traumatisme

A la tête de la Marine anglaise, Churchill imagine en janvier 1915 d'attaquer l'Empire ottoman dans le détroit des Dardanelles. Ce sera l'un des pires désastres de la Première Guerre mondiale.

Un chef de guerre

Churchill reste le grand héros de la Seconde Guerre mondiale. Pourtant, s’il a su galvaniser le pays lors de la bataille d’Angleterre, il a aussi commis des erreurs, de stratégie ou d’évaluation des adversaires... Bilan.

De Yalta à la guerre de Corée : comment le monde a basculé dans la guerre froide

Il a fallu cinq ans pour que, de la conférence de Yalta (1945) au déclenchement de la guerre de Corée (1950), le monde se trouve radicalement divisé entre deux camps : l'Est et l'Ouest. Autopsie de ces cinq années d'hésitations, d'erreurs, de calculs, mais aussi d'ignorance de l'adversaire et de convictions idéologiques profondément ancrées. Cinq années déterminantes, qui ont fini par rendre inévitable l'affrontement entre les deux blocs.

Churchill a-t-il fait assassiner Mussolini ?

Le livre de Renzo De Felice, le biographe de Mussolini, suscite un débat passionné en Italie. L'auteur affirme en effet que le Duce n'a pas été assassiné en 1945 par des résistants communistes, comme on le dit depuis cinquante ans. Mais par des agents de l'Intelligence Service, dûment mandatés par Churchill.

Winston Churchill : l'impuissance et la gloire

Winston Churchill est entre dans l'eternite comme l'un des grands vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale, celui qui sut insuffler au peuple britannique un courage et une détermination sans faille. Mais avant l'apothéose de 1940, il y eut une longue carrière politique, faite avant tout d'erreurs, d'échecs, de contradictions et de reniements...

Faut-il brûler Winston Churchill ?

« Churchill : la fin de la gloire ». Tel est le titre d'un ouvrage qui fait scandale en Angleterre. L'historien John Charmley y fait le procès du Premier ministre britannique, Vaccusant de n'avoir pas négocié à temps une paix honorable avec Hitler. Et d'avoir ainsi précipité le déclin de son pays. Autant d'affirmations hasardeuses, politiquement dangereuses et « révisionnistes » aux yeux de François Bédarida...