Fantômas, roi du crime
Fantômas, le roi du crime, est de retour, en DVD ! L'occasion de revoir les films du cinéaste Louis Feuillade, tirés des romans de Pierre Souvestre et Marcel Allain, qui connurent un immense succès au début du siècle.
Fantômas, le roi du crime, est de retour, en DVD ! L'occasion de revoir les films du cinéaste Louis Feuillade, tirés des romans de Pierre Souvestre et Marcel Allain, qui connurent un immense succès au début du siècle.
Le 9 janvier 1836, Lacenaire est guillotiné. En quelques mois, de son procès à son exécution, il a atteint une célébrité qu'il doit avant tout à sa personnalité et à son attitude. Car ce bourgeois cultivé, dénonçant la société et revendiquant ses actes, a fasciné autant que scandalisé.
Les délinquants dont le comportement relevé de la pathologie psychiatrique doivent-ils être pris en charge par une institution médicale, ou judiciaire ? Où s'arrête le pouvoir des médecins, où commence celui des juges ? Autant d'interrogations qui se posaient dans les mêmes termes, il y a un siècle.
On assiste ces jours-ci a une reunion du Front national qui a pour objectif explicite de faire le « procès du communisme ». On annonce la publication d'un ouvrage collectif, déjà très controversé, sur les crimes commis par les régimes communistes. Pourquoi ce regain d'intérêt, aujourd'hui ? Comment faire la part entre le souci de rigueur scientifique et les arrière-pensées politiques ? Jean-Jacques Becker, auteur d'un livre sur l'anticommunisme français, répond à ces questions.
La tolérance générale de la société envers la violence et les insuffisances de l'expertise médicale expliquent le faible nombre de plaintes et de jugements pour viol d'enfant tout au long de l'Ancien Régime. En théorie sévèrement condamné, ce crime aujourd'hui considéré comme majeur est en fait le plus souvent dissimulé, marginalisé, voire admis. Il faut attendre la fin du XVIIe siècle pour qu'apparaisse une plus grande sensibilité à la souffrance des jeunes victimes.
L'obligation faite aux hommes de respecter les « Dix Commandements » de Dieu est au cœur de l'Ancien Testament. La définition du Bien et du Mal qui s'y exprime est d'une radicale nouveauté : désormais, la seule loi qui vaille est celle de Yahvé. Le crime est défini comme infraction à la volonté de Dieu, et se confond avec le péché.
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