On attendait sous la plume de Max Gallo des héros trempés dans la vertu romaine et la tradition républicaine. En réalité, c'est plutôt des chrétiens et de leurs démêlés avec le pouvoir que nous parle l'historien dans sa série en cinq volumes, Les Romains*.
Pendant des millénaires, l'Europe aurait adoré une même déesse unique, dans un monde ignorant la domination masculine. Cette thèse, soutenue par Marija Gimbutas dans un livre récemment traduit, a séduit les féministes. Elle est pourtant intenable*.
En 1960, avec L'Enfant et la vie familiale sous l'Ancien Régime , Philippe Ariès faisait, le premier, de l'enfance un objet d'histoire. Ses thèses ont beaucoup été discutées. Voici son témoignage recueilli en 1980 par Michel Winock, qui fut son éditeur.
Une étape décisive dans l'histoire de l'Europe, entre l'absolutisme monarchique et le siècle des Lumières.
Le tête-à-tête entre l'historien monarchiste et le fils de la Révolution.
Quand le mythe servait à justifier la marginalisation politique des femmes à Athènes.
C'est l'avancée de l'islam qui provoqua, selon Pirenne, la rupture avec l'Antiquité.
Un des ouvrages les plus fouillés et les plus intelligents sur la prise du pouvoir par les fascistes en Italie, au lendemain de la Première Guerre mondiale.
Un appel vibrant au retour de l'humanisme, seul moyen de dépasser les préjugés racistes et religieux.
Un ouvrage qui suscite encore maints débats sur le fonctionnement et les ressorts de la monarchie absolue.
