Homosexualité

Le plus vieux métier du monde

Lupanars, mères maquerelles, proxénètes... La société antique reconnaît le rôle social de la prostitution. À quelques brillantes exceptions près néanmoins, femmes et hommes qui se vendent sont méprisés et confinés aux marges de la cité.

Les homosexuels hors la loi

Dès les premiers siècles de l'ère chrétienne, les théologiens considèrent les relations homosexuelles comme une atteinte à l'ordre divin. Cette condamnation n'exclut pas pourtant une certaine tolérance sociale. C'est à partir du XIVe siècle que la répression s'abat sur les « sodomites » qui seront parfois conduits au bûcher.

Homosexuels : la fin d'un tabou

Vice, perversion, névrose ? Il y a cent ans, quand apparaît pour la première fois la notion d’« homosexualité », les comportements qu’elle désigne sont généralement soumis à la réprobation publique. Peu à peu, pourtant, au fil des ans, une « communauté » s’est affirmée. Soucieuse de ses droits et de sa légitimité.

Les amours grecques : le rite et le plaisir

Plus qu'aucune autre civilisation, la Grèce ancienne accorda une place officielle aux amours masculines. Ces relations s'inscrivaient d'abord dans le cadre pédagogique et initiatique qui attachait un adolescent à un aîné. Mais, au-delà de ces aspects rituels, c'est toute la cité qui baignait dans une atmosphère d'érotisme où le corps nu de l'homme était glorifié.

Naissance du troisième sexe

Vice, perversion, névrose ? Il y a cent ans, quand apparaît pour la première fois la notion d'« homosexualité », les comportements qu'elle désigne sont généralement soumis à la réprobation publique. Peu à peu pourtant, au fil de scandales, de provocations ou de professions de foi qui ont jalonné notre siècle, une « communauté » s'est affirmée. Soucieuse de ses droits et de sa légitimité.

Les plus grands seigneurs du royaume...

Princes du sang et seigneurs de cour, maréchaux charges de gloire et prélats couverts de pourpre... Au xviie siècle, les grands du royaume font à peine mystère de leurs goûts. A l'avènement des Lumières, la sodomie s'appelle « péché philosophique ». Mais la Révolution efface à tout jamais le « crime contre-nature ».

Comment l'Église a mis les sodomites hors la loi

Dès les premiers siècles de l'ère chrétienne, les théologiens portent une condamnation absolue sur les relations homosexuelles, dites sodomitiques. Ces interdits ont-ils totalement façonné la mentalité de l'homme médiéval ou a-t-il pu au contraire exister des espaces de liberté ou de tolérance propices à l'épanouissement de ces amours interdites ? Les réponses de Jacques Rossiaud, spécialiste des pratiques et des représentations sociales au Moyen Age.

Les amours grecques : le rite et le plaisir

Plus qu'aucune autre civilisation, la Grèce ancienne accorda une place officielle aux amours masculines. Ces relations s'inscrivaient d'abord dans le cadre pédagogique et initiatique qui attachait un adolescent à un aîné. Mais, au-delà de ces aspects rituels, c'est toute la cité qui baignait dans une atmosphère d'érotisme où le corps nu de l'homme était glorifié.

Ulysse, le roi chasseur

Si la vieille nourrice d'Ulysse le reconnaît au retour de ses voyages, c'est grâce a la trace d'une ancienne blessure, causée par un sanglier lors d'une chasse mémorable... Exploit héroïque, signe d'appartenance au monde de la cité : la chasse est en Grèce ancienne une métaphore de la condition de l'homme. Une recherche brillante d'Alain Schnapp vient nous l'apprendre*.