A la recherche du mari disparu
Pour tenter leur chance en Argentine des hommes ont laissé leur famille derrière eux en Europe. L'historienne Maria Bjerg a étudié ces liens rompus.
Pour tenter leur chance en Argentine des hommes ont laissé leur famille derrière eux en Europe. L'historienne Maria Bjerg a étudié ces liens rompus.
Une grande exposition retrace un siècle et demi d'immigration italienne en France.
Il faut attendre 1980 pour que le statut de « réfugié » soit reconnu outre-Atlantique : tous les exilés étaient auparavant soumis aux quotas d'immigration. Et, jusqu'en 1965, c'est la fermeture qui prime.
Tous les voyageurs notent le caractère cosmopolite de Venise, où viennent trouver refuge les Grecs, les Dalmates et les Albanais chassés par les Ottomans. D'abord marginalisés, ces migrants ont contribué à la prospérité d'une cité ouverte et dynamique.
Pourquoi le pape François, qui a dénoncé la conquête espagnole en Amérique du Sud, canonise-t-il le responsable de la colonisation de la Californie en Amérique du Nord ?
A partir des années 1960, le pays rompt peu à peu avec son identité « blanche ». Le multiculturalisme progresse. Mais les résistances sont nombreuses.
En 1788, 732 condamnés britanniques et leurs gardiens débarquent sur la côte Est. Pendant un demi-siècle, l'Australie sera une terre de bagnards. Aujourd'hui, le pays se réclame de ces étranges « pères fondateurs ».
Deux siècles d'immigration italienne à Lyon.
Fuyant le Vietnam communiste pour les États-Unis, ils se sont engagés, aussi, dans un devenir américain.
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