L engouement pour les échecs ne cesse de croître. Les raisons de leur succès, nous les demanderons à la longue histoire de ce jeu peu commun, aux origines lointaines et mystérieuses.
Les chevaux, les chiens, les matches de football... Les Anglais parient sur tout ! Mais cette passion n'a rien de destructeur. C'est une activité réfléchie, calculée, moins lourde pour le budget que la consommation d'alcool ou de tabac.
L'idée de faire courir des lévriers remonte à l'Antiquité. Mais, à l'origine, il s'agissait de sélectionner les bêtes les plus rapides. Puis, peu à peu, les propriétaires s'intéressèrent aux résultats de leurs chiens...
« Des races éteintes, les hôpitaux et les prisons peuplés de nouvelles victimes, le peuple appauvri... » Non, Talleyrand, à la veille de la Révolution, ne parle pas d'une famine, mais des effets d'une religion nouvelle : le culte de la loterie.
Au cabaret, on boit et on achète des boissons. On parle aussi. Les idées subversives s'affichent. Les gens de l'ombre s'y abritent. En 1789, le marchand de vin est bien cet agitateur politique que dénoncent le juge et le curé.
« Tirer un bon numéro », « quiller », «trouver blanque »... Après avoir dévoilé « depuis quand on tirait des plans sur la comète », (L'Histoire n° 16), Claudine Caillet s'aventure dans les jeux de hasard et le vocabulaire de la conscription.
Andy Capp, ce petit ouvrier de bande dessinée qui, la casquette éternellement rivée sur le crâne, partage son temps entre le pub et le toot, vous connaissez r trie John Hobsbawm, un des plus grands historiens de notre époque, montre combien cet être de papier témoigne d'une culture ouvrière longtemps vivace en Angleterre.
Andy Capp, ce petit ouvrier de bande dessinée qui, la casquette éternellement rivée sur le crâne, partage son temps entre le pub et le foot, vous connaissez ? Eric John Hobsbawm, un des plus grands historiens de notre époque, montre combien cet être de papier témoigne d'une culture ouvrière longtemps vivace en Angleterre.
