On a toujours soigné les fous
On le sait grâce à Michel Foucault : il a fallu attendre le XVIIe siècle pour enfermer le fou. Avant, révèle le beau livre de Claude Quétel et Pierre Morel*, le dément était libre, intégré à la cité et soigné dans une atmosphère de joie, de fête ou de kermesse.