Les massacres de Sabra et Chatila
En septembre 1982, les civils des camps palestiniens de Sabra et Chatila, au Liban, sont massacrés par des milices chrétiennes. L'armée israélienne n'a pas bougé.
En septembre 1982, les civils des camps palestiniens de Sabra et Chatila, au Liban, sont massacrés par des milices chrétiennes. L'armée israélienne n'a pas bougé.
Faut-il ou non intervenir dans les Balkans ? Il y a un peu plus d'un siècle, ce débat agitait déjà l'Angleterre victorienne. A l'époque, l'Empire ottoman perpétrait des atrocités contre les populations bulgares. Concordance des temps.
Les massacres de civils palestiniens de Sabra et Chatila, au Liban, scandalisent l'opinion. Dans l'imbroglio proche-oriental, Israël est mis en position d'accusé.
Les réflexions critiques d'un spécialiste de l'Empire ottoman sur la façon dont on a écrit l'histoire du massacre des Arméniens.
Denis Crouzet avait livré à L'Histoire (n° 175) une interprétation iconoclaste du massacre de la Saint-Barthélemy : il présentait Charles IX comme un souverain humaniste et ce crime d'État comme un « acte d'amour » du roi envers ses sujets. Nicole Lemaître, spécialiste de l'Église au xvie siècle, s'élève ici contre cet exercice d'« histoire virtuelle ».
Devant les atrocités commises par les colonnes infernales au début de l'année 1794, Jean-Clément Martin met en cause la responsabilité du général Turreau : sans ordres précis de la Convention, ce militaire médiocre a transformé, de sa propre initiative, une guerre civile en tragédie nationale.
Pendant une semaine, en août 1572, Paris est livré au meurtre et au pillage ; les catholiques exécutent par milliers les protestants. C'est le massacre de la Saint-Barthélemy : six jours et six nuits d'une barbarie sans nom. Comment expliquer ce carnage F Qui l'a ordonné ? Faut-il incriminer le roi de France Charles IX, ou bien sa mère Catherine de Médicis ? le débat reste ouvert parmi les historiens. Denis Crouzet publie un livre où il expose son interprétation desfaits. Une interprétation iconoclaste*...
Pendant une semaine, en août 1572, Paris est livre au meurtre et au pillage ; les catholiques exécutent par milliers les protestants. C’est le massacre de la Saint-Barthélemy : six jours et six nuits d’une barbarie sans nom. Comment expliquer ce carnage ? Qui l’a ordonné ? Faut-il incriminer le roi de France Charles IX, ou bien sa mère Catherine de Médicis ? Le débat reste ouvert parmi les historiens. Denis Crouzet publie un livre où il expose son interprétation des faits. Une interprétation iconoclaste…
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