1944, 21 août Au bout de cinq ans de clandestinité, le journal, voix primordiale de la Résistance, paraît au grand jour. Pour un été de fleurs et de flammes.

En novembre 1940, Gustave Monod refuse d’obéir à l’ordre du gouvernement de Vichy de dresser la liste des enseignants juifs de l’Académie de Paris.

1940, octobre Une histoire courte qui évoque celle de toute la presse clandestine, dont l'essor reste stupéfiant si l'on songe aux difficultés qu'elle a rencontrées.

L'ancien secrétaire de Jean Moulin retrace son parcours de résistant dans un documentaire. Jean-Pierre Azéma l'a vu pour nous.

Rallié à de Gaulle en 1941, Jean-Louis Crémieux-Brilhac est devenu l'historien de la France Libre. Il analyse et raconte ces premiers mois à Londres durant lesquels le Général fonde la résistance extérieure.

Il fut l'un des esprits scientifiques les plus féconds de sa génération. Mais aussi un résistant de la première heure, prêt à toutes les audaces à la tête du réseau Cohors. Alya Aglan retrace l'itinéraire atypique de Jean Cavaillès, l'intellectuel qui aimait les explosifs.

Jean Moulin reste le héros exemplaire de la Résistance. Jean-Pierre Azéma, l'un de ses meilleurs biographes, trace ici le portrait de celui qui fut l'émissaire du général de Gaulle auprès de la Résistance intérieure. Et fait le point sur toutes les polémiques.

Y avait-il des pays plus résistants que d'autres ? Comment s'est organisée, d'un bout à l'autre du continent, l'opposition au nazisme ? Si la Résistance a pris des formes très différentes, c'est que les situations l'étaient aussi.

Longtemps considérée comme secondaire par rapport à la lutte armée, la résistance civile est aujourd'hui redécouverte. Dès 1940 et 1941, l'occupant dut faire face à des mouvements de masse qui furent un réel obstacle à la nazification de la société.

Mêler images d'archives et scènes de reconstitution tout en respectant le statut de chaque genre... C'est le pari gagné des deux docu-fictions sur la Résistance diffusés par France 2 en décembre.