Talleyrand (Charles-Maurice de)

Carême, le pâtissier des puissants

Il n'a jamais tenu de restaurant mais il a régalé les têtes couronnées de toute l'Europe avec ses pièces montées aux formes extravagantes. Au service de Talleyrand, il est devenu le pionnier des « chefs » à la française.

Le cuisinier de Talleyrand

A partir d'archives inédites, Marie-Pierre Rey retrace les différentes facettes du destin d'Antonin Carême, « le roi des cuisiniers », qui devint le pionnier des « chefs » à la française et la première gloire culinaire européenne.

La gloire de Talleyrand

En mars 1814, Talleyrand sait que Napoléon est « fini ». Proche du tsar, rallié aux Bourbons, hors de France pendant les Cent-Jours, il construit, durant dix-huit mois, son moment de gloire.

Talleyrand, prince des "diplomates" ou "diable boiteux" ?

Peu de personnages ont exercé une telle fascination. On a attribué à Talleyrand tous les crimes. Ou on l'a encensé. la littérature (Victor Hugo, Balzac) et le cinéma (Sacha Guitry, Abel Gance) se sont emparés du « diable boiteux ». Cent cinquante ans après sa mort, Jean Tulard fait miroiter ici les multiples facettes du prince diplomate.