« Nous sommes une drôle de nation ! »
La nation espagnole est née en 1812, en réaction à l'invasion de Napoléon. Depuis deux cents ans, elle est l'enjeu d'une lutte féroce entre gauche libérale et droite conservatrice, ultra-catholique.
La nation espagnole est née en 1812, en réaction à l'invasion de Napoléon. Depuis deux cents ans, elle est l'enjeu d'une lutte féroce entre gauche libérale et droite conservatrice, ultra-catholique.
Les années 1930 sont marquées par la violence. Jusqu'en 1939, le pays est déchiré par la guerre civile puis subit plus de trente-cinq ans de dictature franquiste avant que ne s'établisse la démocratie. Aujourd'hui, l'État est contesté par les sécessionnistes catalans.
Traditionnellement conservatrice, la Bretagne est devenue l'une des premières terres socialistes de France. Comment expliquer ce retournement ?
Depuis La Manif pour tous en 2012, l'Église reviendrait en politique. C'est oublier de grands précédents. Dont le défilé de 1902.
Archiduchesse d'Autriche, reine de Hongrie et de Bohême, impératrice consort du Saint Empire, Marie-Thérèse d'Autriche a gouverné et modernisé au XVIIIe siècle un vaste ensemble de peuples et de territoires.
Si l'Autriche fête cette année les 300 ans de sa naissance, le reste de l'Europe centrale semble s'en désintéresser. Elle incarne pourtant la possibilité d'une mémoire commune.
Le 24 novembre 2016, un accord est signé en Colombie pour mettre fin à la plus ancienne guérilla du monde. Retour sur cinquante ans de conflit et sur les racines historiques de cette violence.
En octobre 2016, les évêques de France ont appelé les citoyens à réfléchir sur la crise sociale et politique, abordant sans concession les questions d'inégalités, de laïcité, de chômage ou de diversité culturelle.
La République oligarchique a longtemps séduit tous les adeptes de l'équilibre des pouvoirs, jusqu'à Montesquieu, qui projeta d'écrire sur les institutions vénitiennes un livre intitulé La République des castors. Qu'en est-il vraiment ?
Les pouvoirs vénitiens s'enorgueillissent de la concorde civile qui règne dans une ville qui n'a jamais connu de révolte. La multiplicité des assemblées où l'on débat du quotidien est l'une des clés de compréhension de cette stabilité politique.
Convoqués pour régler la crise ouverte par la captivité du roi Jean le Bon, les 400 membres des états généraux de 1356, nobles, clercs, bourgeois et damoiseaux, venus des pays de la langue d'oïl, outrepassent bientôt leur mission. Un embryon de parlementarisme était-il possible, en France, au Moyen Age ?
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