La prise du pouvoir par Adolf Hitler
Le 30 janvier 1933, le président de la République de Weimar appelle Adolf Hitler à la chancellerie. Comment cet ex-caporal autrichien a-t-il pu obtenir l'appui des partis conservateurs et des millions de voix aux élections de juillet 1932? Quelle implacable stratégie a permis à Hitler de parvenir au pouvoir et d'imposer le totalitarisme national-socialiste ?
La paix inachevée
Après en avoir terminé avec la «der des der». Français, Allemands et la plupart des peuples d'Europe croyaient retrouver l'âge d'or de la Belle Époque. Quelle illusion ! Il leur fallut s'arranger des deuils, des destructions, de la chute des empires, du déclin de l'Europe et de l'aveuglement des hommes politiques. Accepter enfin l'amère vérité assénée par Valéry : «Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles...».
Les classes moyennes contre la gauche
A partir de 1918, une solide tradition semble s'installer : après avoir conquis le pouvoir, la gauche française le perd à cause du retournement de l'opinion publique. La raison de ces échecs : l'attitude des classes moyennes.
La franc-maçonnerie et la République (1870-1940)
« L'hydre franc-maçonne », le « complot maçonnique »... Depuis les origines de la IIIe République - au moins ! - les loges ont été accusées d'une action occulte et malfaisante. A vrai dire, il y a bien eu symbiose entre la maçonnerie et l'esprit républicain. Encore faudrait-il en définir la nature et renoncer aux légendes noires.
Élections : Les hauts et les bas de la discipline républicaine
Georges Marchais, s'il arrive derrière François Mitterrand au premier tour de la prochaine élection présidentielle, demandera-t-il à ses électeurs d'appliquer, au second tour, la « discipline républicaine » ? La « discipline républicaine »... un comportement électoral qui s'est imposé à la gauche, au début de la IIIe République. Avec des hauts et des bas...
Édouard Herriot ou la République des bons élèves
Plus que tout autre, Edouard Herriot a su incarner la véritable mystique que fut le radicalisme au temps de la IIIe République. Faut-il, au nom d'une condamnation d'un régime révolu, enterrer définitivement celui qui en fut un des plus vivants symboles ?