Rome, ville des Lumières
Passion pour l'antique, quête de savoirs millénaires... Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, Rome s'impose comme un laboratoire pour l'Europe artistique et scientifique.
Passion pour l'antique, quête de savoirs millénaires... Dans la seconde moitié du XVIIIe siècle, Rome s'impose comme un laboratoire pour l'Europe artistique et scientifique.
Comment retrouver le passé de ces peuples sans écriture brisés par la conquête ? Les grandes enquêtes ethnographiques du XIXe siècle et les sources européennes du XVIIe et du XVIIIe siècle permettent de reconstituer l'extraordinaire diversité des Indiens d'Amérique du Nord.
Elle était fabuleusement riche et considérait l'étude du monde antique comme fondamentale pour le progrès des sociétés modernes. Phoebe Hearst fut l'une des plus grandes collectionneuses d'art étrusque à l'aube du XXe siècle.
L'éclairage de l'étruscologue Jean-Paul Thuillier, conseiller scientifique de l'exposition qui se tient jusqu'en janvier 2012 à la Pinacothèque de Paris.
On dit qu'il était grand, beau, doté d'une crinière léonine et qu'il sentait bon. C'est que le corps du roi est d'abord une construction politique. Les sources nous permettent aussi d'entrer dans son intimité.
Longtemps ignorée, la Macédoine antique livre peu à peu ses secrets. Au musée du Louvre, une exposition riche de plus de 500 pièces nous donne une occasion rare de mieux connaître la patrie d'Alexandre le Grand.
De l’extraordinaire succès du best-seller La Nef des fous , en 1494, à celui de L’Éloge de la folie d’Érasme en 1511, en passant par Jérôme Bosch et Pieter Bruegel, la dénonciation de la folie du monde conquiert la littérature et les arts. Toute une culture s’épanouit.
Le monde médiéval était-il aussi sombre que l'on croit ? Des flammes des cierges aux vitraux colorés des cathédrales, les églises étaient de véritables foyers de lumière. Lumière qui était le signe visible de la présence divine.
Synonyme de pureté originelle, de vérité, de désintéressement. Mais aussi d'animalité, de honte, de concupiscence. La nudité au Moyen Age dit le meilleur comme le pire.
S’il existe dans l’art chinois des corps dénudés, il n’y a pas, nous explique François Jullien, à proprement parler de « Nu » comme on en trouve dans l’art occidental.
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