Banque

Francfort, de Charlemagne à la Bundesbank

Francfort est aujourd'hui le siège de la Bundesbank, qui dicte sa politique monétaire à ses partenaires européens ; elle accueille tous les ans la plus importante foire du livre du monde. Les raisons de ce succès et de cette opulence, il faut les chercher dans l'initiative de Charlemagne qui, en 794, fit de la ville sa capitale financière...

L'argent diabolique

Vivons-nous sous le règne de l'argent qui tue l'esprit, les arts et les âmes ? Dans la France d'aujourd'hui, comme dans celle des années 1930, l'argent, c'est le Mal. Faux procès que cette diabolisation de l'argent ! répond ici Anthony Rowley. A ses yeux, les Français n'ont toujours pas compris les règles du jeu capitaliste*.

Jean Bouvier, le communisme et la banque

De son admiration pour Edouard Herriot à sa thèse innovatrice sur le Crédit lyonnais, en passant par les Éclaireurs de France, le parti communiste et les maquis, Jean Bouvier ne renie rien de ses erreurs, de ses fidélités... Voici le portrait de l'un des meilleurs spécialistes français de l'histoire économique. Un itinéraire rare, un témoignage vrai.

La naissance de la banque

Qu'est-ce qui a pu donner aux marchands italiens du Moyen Age le génie et l'inventivité ? Lettre de change, « chèque », change à distance... Tout cela n'est, à l'origine, qu'une façon de tourner l'interdiction du prêt à intérêt imposée par l'Église.

Le « bon sens » du Crédit Lyonnais

La naissance du Crédit Lyonnais n'est pas le fruit du hasard. Jean Bouvier nous montre dans quelle logique économique l'initiative d'un homme devient une œuvre durable.

L'âge d'or de la Banque de France

La banque a le culte du secret. Il faut être un véritable « enquêteur » pour saisir les fils des affaires. Nous avons interrogé Alain Plessis, qui a découvert que les plus grands banquiers ne savent pas toujours où est leur intérêt.

1781 : La démission de Necker

19 mai 1781 : Necker démissionne. Après l'échec de Turgot, on attendait des miracles de cet étranger, ancien commis de banque et protestant de surcroît. Mais comment assainir les finances de l'État sans s'attirer la haine des parlements, des courtisans et... du roi?