Marceline Loridan, sur-vivante
Soixante-dix ans après la libération d'Auschwitz, Marceline Loridan, rescapée de Birkenau, témoigne, inlassablement.
Soixante-dix ans après la libération d'Auschwitz, Marceline Loridan, rescapée de Birkenau, témoigne, inlassablement.
Avec la Chine, Cuba, le Laos et la Corée du Nord, le Vietnam est l'un des derniers pays du monde à être dirigé par un parti-État.
La prise de Saigon sonnait la fin de la guerre civile avec l'espoir d'un Vietnam réunifié, indépendant et pacifié. Mais les vainqueurs imposèrent brutalement le modèle communiste au Sud.
Si Ho Chi Minh fut l'architecte de la victoire contre les Français, on sait aujourd'hui que c'est Le Duan, devenu Premier secrétaire du Parti en 1960, qui décida de relancer la guerre contre les États-Unis.
Du côté vietnamien, l'état de guerre a duré plus de trente ans. Ce fut à la fois un conflit de décolonisation et une guerre « nationaliste », civile et totale. Une guerre de réunification qui opposait deux visions politiques d'un Vietnam libre et réunifié.
La Corée du Nord reste le pays le plus fermé au monde.
Les deux moitiés de la Corée ont développé chacune son régime, ses valeurs et son système économique. Que reste-t-il, après soixante ans de division, du rêve de la réunification ?
Pour Viktor et Agata, un manuel de survie en système totalitaire dans la Pologne des années 1950.
Comment un petit groupe de communistes extrémistes a-t-il pu s'emparer du pouvoir au Cambodge ? Quels rôles ont tenus dans cette affaire l'histoire longue du Cambodge colonial, le communisme et finalement la terrible guerre du Vietnam ?
S'il a laissé dans les mémoires l'image d'un despote sanguinaire, il a pourtant longtemps été considéré comme l'un des dirigeants les plus fréquentables des démocraties populaires.
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