Sa catastrophique croisade au Maroc en 1578 fit passer le Portugal sous la coupe espagnole. Et bouleversa pour longtemps la géopolitique de la Méditerranée.

La bataille de Leipzig en octobre 1813 fut, jusqu'à 1914, la plus grande confrontation de tous les temps. Elle sonna le glas du rêve allemand de Napoléon et fut le tournant qui mena l'Empereur à sa chute.

Il y a soixante-dix ans le général Paulus capitulait à Stalingrad. Pourquoi les Allemands ont-ils perdu cette grande bataille ?

Un livre récent sur l'origine d'une expression qui prouve surtout... la mauvaise foi des Romains.

L'aventure des Cent-Jours finit dans un désastre militaire le 18 juin 1815. Napoléon est épuisé, il abdique trois jours plus tard. Cette fois, l'Empire est bien mort. Il a duré quinze ans.

Notre diagnostic de la défaite de 1940 ne serait-il pas, aujourd'hui encore, le même que celui de Pétain : une France décadente, à l'image de son armée ? L'analyse décapante du grand historien américain.

La défaite de 1940 entraîne la chute de la IIIe République ; Philippe Pétain se voit confier les pleins pouvoirs constituants le 10 juillet. Quelles sont les responsabilités des hommes politiques dans cette déroute ?

Quelle est la responsabilité des généraux français dans la débâcle de juin 1940 ? Les panzers allemands étaient-ils irrésistibles ? Le Blitzkrieg était-il un scénario sans failles ? Contre les idées reçues, retour sur la défaite française.

A la tête de la Marine anglaise, Churchill imagine en janvier 1915 d'attaquer l'Empire ottoman dans le détroit des Dardanelles. Ce sera l'un des pires désastres de la Première Guerre mondiale.