France

La famille n'est plus ce qu'elle était...

Plonger dans la condition de l'enfant sous l'Ancien Régime, c'est découvrir l'évolution de la société tout entière. Celle de la mortalité, de l'éducation et de la famille. Et assister, dans les années 1760, à l'émergence de l'enfant en tant que personne et bien précieux.

Un certain art de vivre

L'homme de droite a, pendant plus d'un siècle, élaboré les règles de ce qui se fait et ne se fait pas. Il a érigé son art de vivre en modèle, et multiplié, à l'usage des initiés, les signes de reconnaissance. Que reste-t-il aujourd'hui de cet esprit de caste ?

Les néo-païens de la nouvelle droite

A la fin des années 1970, un mouvement d'extrême droite connaît un succès éphémère. Menant le combat culturel contre la gauche dominante dans les milieux intellectuels, la Nouvelle Droite s'affirme néo-païenne, anti-égalitaire et différencialiste. Elle étend son influence dans la presse grand public et jusque dans l'antichambre des partis politiques.

L'armée est-elle de droite ?

Longtemps, l'uniforme n'a pas eu bonne presse dans les salons ultras et les milieux royalistes : le soldat était alors le « jacobin botté », assiégeant des châteaux et démolisseur des cloîtres. Peu à peu, cependant, du coup d'État du 2 décembre 1851 à la guerre d'Algérie, en passant par l'affaire Dreyfus et le traumatisme de 1940, l'armée est devenue de droite.

Les quatre familles de la droite

La droite est née avec la Révolution française. Mais qu’y a-t-il de commun entre les émigrés de 1789 qui appelaient de leurs voeux le retour à l’Ancien Régime, les agités du rationalisme à la Déroulède et les républicains bon teint comme Raymond Poincaré ? Pour s’y retrouver, voici la radiographie des droites françaises.

De Bonald à Tocqueville, les maîtres a penser

La droite a eu ses théoriciens. Traditionalistes et contre-révolutionnaires comme Maistre ou Bonald, libéraux comme Tocqueville ou Benjamin Constant, monarchistes-ultranationalistes comme Maurras. Issus de courants différents, ils ont eu un point commun : celui de se lire dans le miroir que leur tendait la gauche.