1920, l'occasion manquée
A l'issue de la Première Guerre mondiale et avec la défaite de l'Empire ottoman, un Kurdistan indépendant était tout près de voir le jour. Le traité de Lausanne, en 1923, enterre ce projet. Que s'est-il passé ?
A l'issue de la Première Guerre mondiale et avec la défaite de l'Empire ottoman, un Kurdistan indépendant était tout près de voir le jour. Le traité de Lausanne, en 1923, enterre ce projet. Que s'est-il passé ?
Face à l'afflux de réfugiés en Europe, seule une politique plus généreuse de l'asile permettra d'éviter la catastrophe, prévient une spécialiste des migrations internationales.
Le général romain Germanicus, alors âgé de 30 ans, remporte en 16 ap. J.-C. des succès militaires au coeur de la Germanie. Pourquoi l'empereur Tibère le rappelle-t-il à Rome, le privant de transformer ses victoires en conquêtes et empêchant l'empire de s'étendre à l'est du Rhin ?
L'histoire, le rôle et les enjeux des frontières. L'exposition « Frontières » jusqu'au 29 mai 2016 au musée de l'Histoire de l'immigration, Paris.
Entre Israël et ses voisins arabes, la guerre a commencé le lendemain même de la proclamation d'indépendance. Depuis, elle s'est poursuivie, de façon sporadique sans que la paix semble possible.
Avec l'affaiblissement de l'Empire ottoman, les appétits européens s'aiguisent. Durant la Grande Guerre, deux logiques s'affrontent : l'impérialisme des Français et des Britanniques, qui cherchent à se partager la région, et la reconnaissance du droit des peuples.
Au Ve siècle, accablées par des problèmes économiques et militaires, les deux parties de l'empire (partagé depuis 395) essaient de riposter. Les Barbares s'installent en Europe tandis que, à l'est, l'éternel ennemi perse veille à la frontière.
Si le sentiment national n'est pas né au XIXe, c'est bien ce siècle qui a vu triompher, en Europe, le principe des nationalités : à chaque nation, un État. A travers guerres et soulèvements, ce principe s'est imposé lentement en Europe.
En 1922, l'Empire russe devient l'URSS. Ses dirigeants voient leur pays comme une forteresse assiégée, tout en menant une politique offensive dans l'étranger proche. De là, des frontières de plus en plus avancées, de plus en plus épaisses.
La nation et l'État allemands n'ont jamais vraiment coïncidé. Sur quelles bases historiques la conscience d'une identité nationale peut-elle donc reposer ?
En poursuivant votre navigation sur les sites du groupe Sophia Publications, vous acceptez l'utilisation des cookies permettant de vous proposer des services et contenus personnalisés.